Les premières pièces du puzzle

Depuis la version papier des « racines du pissenlit » de 2007, les données sont vérifiées, corrigées au fur et à mesure et enrichies des sources mais il y a encore des erreurs et des doutes à lever… Ceci dit, l’arbre familial est consultable en ligne en l’état et agrémenté de photos ou des signatures de nos aïeux retrouvées sur les actes mis en ligne par les archives départementales ou les cousins généalogistes. Nombreux étaient ceux parmi nos ancêtres qui ne savaient pas signer mais ils laissaient parfois leur marque, une croix, sur l’acte officiel:

« Marque de la mariée:
Elisabeth FABER – 1790″
« La marque de Jean-Baptiste DUMESNIL – 1797″
« La marque du père du contractant:
Valentin CONIHOUT – 1805″
Mariage de Pierre Nicolas LEVASSEUR et Marie Marguerite BRUMENT
en 1803 à Barentin (Seine-Maritime)

Les cartes postales qui illustrent les lieux où ont vécu nos ancêtres peuvent être anachroniques car datant du XIXème ou XXème siècle alors que nos aïeux y vécurent 100 ou 200 ans plus tôt …mais parfois l’église du village était déjà bien présente et a vu les baptèmes de leurs enfants.

N’hésitez pas à partager vos photos, compléments et corrections si vous le souhaitez; ils sont plus que bienvenus pour améliorer le tout !

L’arbre détaillé est accessible sur le site de référence www.geneanet.org en vous connectant avec le compte suivant, spécialement créé pour la famille:

compte: peyrouxbrejon
mot de passe: je vous le transmets sur demande …

Voici en résumé les 16 grandes lignées de nos arrière-grands-parents:

Les premières pièces du puzzle
Nos origines géographiques

1. Pour Papa, Gérard BRÉJON, le berceau familial paternel se partage entre côté BRÉJON le village de Pavant dans l’Aisne où naquit un certain Pierre BRÉJON vers 1600 et la Belgique qui nous amène à la même époque jusqu’à un autre Pierre… FOUCART dans le village wallon de Oeudeghien dans la province de Hainaut.

Du côté maternel de Papa, nos origines sont le Sud de la Bretagne dans les marais de Saint Joachim en Brière où l’on trouve la trace de Guillaume VINCE vers 1680 (branche corrigée par rapport aux informations du livre de 2007). La branche du côté maternel nous amène à la pointe du Finistère à Plomeur avec Daniel LE ROY vers 1640 et également à la même époque dans le village d’Audembert dans le Pas-de-Calais avec Achille PAIN, fils de Jeanne DE BOURNONVILLE, descendante directe d’Enguerrand II DE FIENNES lui-même descendant de Constance de France, petite fille d’Hugues CAPET; un peu de sang bleu donc pour la lignée ….LE ROY.

2. Pour Maman, Chantal HAMON, les pistes se croisent et se retrouvent toutes au cœur de la Bretagne dans la région du Poher à la limite des trois départements Côtes d’Armor, Finistère et Morbihan. Nos ascendants s’y trouvent près de la ville de Carhaix, dans les villages alentours avec notamment Glomel, Rostrenen et Bonen, Locarn, Plougonver et Pestivien où naquirent Jan HAMON et Yvon MELLEC ainsi qu’Yvon LE MOIGNE et Johannès KEREMBELLEC il y a plus de 400 ans. Surprise pour les parents de Maman, Louis HAMON et Hortense LE MOIGNE qui étaient cousins entre eux… à la mode de Bretagne.

3. Pour Padou, Jacques PEYROUX, le berceau paternel PEYROUX est le Sud-Ouest entre les Landes et les Pyrénées-Atlantiques, partagé entre le petit village landais de Tilh du canton de Pouillon, où naquit Georges PEYROUX en 1669, et celui de Vielleségure avec la branche béarnaise LAVIGNE au milieu du XVIIIe siècle. Les LÉONARD nous font visiter Bordeaux jusqu’à Symphorien LÉONARD, premier du nom à naître en Gironde en 1768, son père ayant quitté la Corrèze où les LÉONARD étaient installés depuis plus de 3 générations.

Côté maternel SCHNEIDER, nos recherches « en remontant le temps » nous ont fait voyager au début du siècle dernier de Bordeaux à Paris pour nous emmener vers 1600 en Moselle dans le Pays de Bitche à Montbronn où la famille d’Anstett SCHNEIDER et ses descendants ont vécu pendant plus de 200 ans. Quant à la branche PUYRAVAUD, elle nous ramène à nouveau à Bordeaux puis jusqu’à Grézac en Charente-Maritime en 1631. Elle nous fait également voyager via Louise de TOURNEMIRE et de nobles familles dans le Cantal en Auvergne jusqu’au Roi Louis VI « Le Gros », descendant direct d’Hugues CAPET.

4. Pour Madou, Christiane MASSÉ, le plus ancien porteur du nom identifié, Sylvain MACÉ résidait vers vers 1650 dans le village berrichon de Rivarennes et les générations suivantes y demeurèrent très longtemps. Avec la grand-mère Jeanne LEVASSEUR, nous arrivons cette fois dans l’Eure et la Seine-Maritime avec les ascendants d’Yrénée LEVASSEUR, piqueur de son état, venant d’Hénouville à quelques kilomètres de Rouen où son ancêtre Robert LEVASSEUR épousa Alison HUE vers 1630.

Côté LEBAS, nous partons de La Châtre et restons dans les village voisins de l’Indre avec Philippe LEBAS vers 1700. Enfin, nos origines CENDRON nous font voyager dans la Nièvre jusqu’à à Chateauneuf-Val-de-Bargis après avoir traversé l’Indre et le Cher vers une longue lignée qui s’appelait à l’époque CENDRE.