
Rivarennes est une commune d’Indre-et-Loire, connue pour sa spécialité culinaire, les poires tapées.
Rivarennes se situe à 10 kms d’Azay le Rideau et 15 kms de Chinon. Le village est profondément ancrée dans la forêt de Chinon. Sur ses 1900 ha de superficie, plus de 800 ha sont couverts de forêt vers le sud jusqu’à Cravant. Au nord, les varennes (zones inondables non cultivables) de l’Indre se sont progressivement couvertes de peupleraies.
12e génération :
Silvain MACÉ vit à Rivarennes avec son épouse Marie LANDRE. Ils sont nés vers 1630-1640. Marie LANDRE décède à environ 65 ans en 1691 .
11e génération :
Silvain dit « Choquat » MACÉ leur fils épouse Mathurine DALAçON en 1689. Silvain a une soeur, Marie MACé, qui décède vers 30 ans en 1699.
10e génération :
Une 3ème génération de Silvain MACÉ avec celui-ci en 1700, qui épouse à ses 18 ans Marie BIDAULT, de Rivarennes également. Ils décèdent tous les 2 en 1766.
9e génération :
Leur fils François MACÉ et son épouse Maguerite LARDEAU perpétuent la lignée rivarennoise en se mariant en 1752 à environ 26 ans et traverseront l’époque de la Révolution Française sur leurs vieux jours.
8e génération :

Gabriel MACÉ leur descendant nous apporte plus d’information sur la lignée MACÉ ou MASSÉ: on lui connait 4 enfants avec Marie JOURDAN, originaire de Oulches, Saint Nazaire: Anne (1795), Marguerite (1797-1849), Jean (1798-1839) notre aïeul et Jeanne née en 1800.
7e génération :

Jean MACÉ sera le dernier né à Rivarennes car il s’installe à Thenay en 1825 lors de son mariage avec Jeanne MORIN, fille d’un drapier et petite-fille de charpentiers originaires d’Argenton sur Creuse.
Jeanne est couturière et domestique au château de Connives. On trouve Jean « homme d’affaire à Connives ».

Parmi les enfants de Jean et Jeanne, on trouve Michel et Gabriel.
6e génération :
Michel et Gabriel MASSÉ sont tous deux nés à Thenay et vignerons.


En 1863, Gabriel MASSÉ épouse Prudence MATHIEU, fille d’une grande fratrie de 8 enfants, dont le père Jean était garde particulier et jardinier, et la mère cuisinière au château de Connives.

épouse de Gabriel Massé
Prudence et Gabriel ont un fils Paul et une fille Marie.
Prudence décède en 1939 à Chateauroux (?).
5e génération :
Marie « Mathilde » MASSÉ, soeur cadette de Paul, née en 1869 à Thenay se marie en 1890 avec Albans GILLET, aubergiste à Ciron où ils s’installent, quittant également le village familial de Thenay.


Paul Michel MASSÉ épouse 2 ans plus tôt Jeanne Albertine LEVASSEUR, une des filles d’Yrénée « dit Landouiller », piqueur normand. Le mariage n’a pas lieu dan l’Indre mais à plus de 100 km à Neuvy sur Barangeon dans le Cher. Nous ne savons pas ce qui les a mené ici.

Paul est valet de chambre puis concierge avec Jeanne à Paris. Ils résident au n° 3 rue Pierre Le Grand dans le 8ème arrondissement en 1890.

Ils auront 2 filles jumelles Yvonne et Juliette qui naissent à Neuvy sur Barangeon dans le Cher. Juliette décédera dans les 6 mois suivant leur naissance. L’année suivante nait Edmond, à Paris rue de la Néva.
Paul et Jeanne se séparent vers 1900 (?) et Jeanne, femme de chambre, reviendra dans le Cher à Bourges en 1932 au n° 48 rue de la Liberté, jusqu’à son décès en 1953. Elle est inhumée au cimetière des Capucins.

Retrouvez la branche LEVASSEUR et les piqueurs normands par ici
Quant à Paul MASSÉ, il décède le 29 janvier 1915 à l’hopital Saint Antoine à Paris. Il habitait alors à Vincennes au 109 rue de la République.

4e génération :


Yvonne décède très jeune durant l’été 1914, de la tuberculose semble-t-il.
Edmond Adrien MASSÉ, frère d’Yvonne, reste à 24 ans le seul enfant de la famille. Il devient chirurgien dentiste et épouse en 1ères noces à Paris Léah Rébecca LAURIE en 1920. Il habite alors 11 rue Duhesmes dans le 18ème arrondissement.


Léah est née à Londres en 1901, anglaise par sa mère Betsy GITELSON et lettone par son père Abraham LAURIE, tailleur né à Riga. Abraham sera déporté à Auschwitz et décédera en juin 1943. Sa fille Léah décédera 50 ans plus tard en 1993.

Edmond et Léah divorcent officiellement en 1931. Déjà installé au 112 boulevard Exelmans à Paris depuis 1920, Edmond y épouse 12 ans plus tard Jacqueline LEBAS, qui ne s’appelle pas encore Mamoune, de 19 ans sa cadette et presque 23 ans révolus.


La maison familiale sera dans le Val d’Oise au sein du village d’Hédouville.

Retrouvez la branche LEBAS dans le Centre par ici.
3e génération :
Edmond et Jacqueline ont 3 filles Yvonne, Christiane « Madou » et Michèle « Mimi » qui épousent respectivement Jean-Pierre WEYDERT, Jacques « Padou » PEYROUX et Jean-Claude CUISINE-ETIENNE.
Retrouvez la branche landaise PEYROUX à Tilh par ici.
2e génération :
A venir : les cousins MASSÉ
1ère génération :
A venir : les petits-cousins MASSÉ