Pierre BRÉJON le Pavanais

Pavant, extrait d’une carte de Cassini

On retrouve les premières traces du village de Pavant dès l’an 845 sous le nom de Pavennum puis Pennvennum en 885 qui signifie frontière (PEN = tête et VEN ou VAN = borne, limite). Situé le long de la Marne, Pavant est effectivement une limite, une frontière à la fois géographique et administrative au travers des époques; limite de Province (Province de Belgique au 1er siècle) puis de Comté (Comté de Champagne au 12ème siècle). C’est aujourd’hui la limite de la première et de la deuxième zone de Champagne viticole ainsi que celle de 2 départements (sud de l’Aisne et nord-est de la Seine-et-Marne).

Situé entre La Ferté sous Jouarre et Château-Thierry, Pavant (Pauvans) est proche des villages de Citry (Sitry), Charly ou Nogent l’Artaud (Nogenlartot), et plus au Sud, Verdelot ou Rebais. Aux 17ème et 18ème siècles, les ressources essentielles de Pavant sont ses terres et ses vignes.

On compte parmi les habitants 111 vignerons et 6 laboureurs, pour la plupart propriétaires d’au moins une parcelle de terre d’après le livre « Histoire de Pavant » de Charles Cornette (édition par souscription publique, 1986).

Terrier de Pavant

Parmi ces petits propriétaires vignerons et laboureurs recensés vers 1650, on dénombre 81 patronymes différents dont 12 seulement seront transmis jusqu’au vingtième siècle: BRÉJON, DELAMOTTE, DESBORDES, DRESMOND, GARNOTEL, HUBIER, LE NOBLE, MANTEL, NOUVEAU, PÉRICART, RAHAULT, SELLIER.

Selon le premier relevé du cadastre, à ces patronymes sont venus s’ajouter 13 autres noms de famille avant 1810: les BOTTELET, COTTRAY, COUVREUR, FAUVET, GOSSOIN originaires de Citry, HARDY, HUVIER, LEMISTRE, MARQUIS, DE PIQUIGNY, PRUD’HOMME, SIMON, VALLET sont des noms de familles également toujours présents au début du 20ème siècle.

D’après un relevé de la listes électorale de 1895 comportant 278 personnes, les patronymes de 1810 représentaient plus de la moitié des personnes et les patronymes de 1650 encore plus de 40 %. Ce qui montre bien que ces familles étaient très enracinées à Pavant depuis des siècles !

Page facebook sur le village de Pavant: Pavant, on y vit bien

Nous avons peu d’informations sur la vie de nos ancêtres BRÉJON au-delà de la 8ème génération; nous savons tout de même qu’ils étaient déjà localisés depuis au moins 1600 à Pavant, dans le canton de la Ferté sous Jouarre au Sud de l’Aisne, à la frontière de ce qui est la Seine-et-Marne aujourd’hui.

Nombreux parmi eux sont vignerons. Chaque famille compte de nombreux enfants; on en trouve au moins 9 pour Philippe « Le Jeune » et sa femme Marie Nicol à la 11ème génération, sans être certain de les avoir tous recensés…

15e génération:

Pas d’information sur Pierre BRÉJON et Honorée JACQUEMIN, nos ancêtres nés vers 1600, si ce n’est l’existence de Charles, frère de Pierre et la trace de leurs 4 enfants, Pierre, Marie, Jean et Charles.

14e génération:

  • Pierre BRÉJON, époux de Louise COLLOT
  • Marie BRÉJON, épouse de Pierre LE BEALE
  • Jean BRÉJON, époux d’Antoinette ou Marguerite BAGLIN, nos aïeux
  • Charles BRÉJON, époux d’Anthoinette BRÉZILLON, qui auront 2 filles Barbe et Anthoinette

13e génération:

Signature de François BRÉJON – 1692

François BRÉJON, fils de Jean et Marguerite, nait vers 1641 à Pavant. Il épouse Marie GARNIER et ils auront au moins 5 enfants dont Philippe notre aïeul, François, Marie, Marguerite et Simon BRÉJON.

12e génération:

Philippe BRÉJON nait en 1678 à Pavant. Il est vigneron, comme une grande partie des pavanais, et aussi « collecteur de la taille »:

La taille royale perçue au profit du roi est un des plus importants impôts de l’Ancien Régime en France. Elle a été créée en 1439 pour financer l’armée française engagée dans la guerre de Cent Ans. Elle était censée compenser le service militaire que ne faisaient pas à l’époque la plus grande partie des habitants.

Les nobles dont le métier était de faire la guerre et le clergé catholique dont la fonction interdit de faire la guerre et qui prie pour le succès des armées en étaient exemptés. Mais parmi les roturiers il y avait de nombreux exemptés : bourgeois des villes ou habitants des provinces dont le roi voulait récompenser le « bon comportement », mais aussi fonctionnaire pour qui l’exemption était un bon motif pour acheter leur charge au roi. La taille royale frappait les personnes (taille personnelle) ou les propriétés (taille réelle) :

  • Dans le système de la taille personnelle, le collecteur fixait le montant à payer en fonction du train de vie estimé du contribuable. Il tenait compte également de la facilité avec laquelle il pourrait percevoir l’impôt et éventuellement de la faveur ou de la défaveur dont il voulait faire profiter le contribuable.
  • Dans le système de la taille réelle, l’impôt était calculé sur la valeur des biens du contribuable. Cette valeur était approximativement connue grâce aux « cadastres » de l’époque : les terriers. Une terre considérée comme noble était exemptée, que le propriétaire soit noble ou non. Par contre, un noble payait l’impôt pour une terre considérée comme roturière.

La taille était répartie par paroisse (commune) puis par feux (foyers fiscaux). Chaque paroisse élisait un collecteur de la taille. Les habitants d’une même paroisse étaient solidaires du paiement de la taille, en cas de défaillance de l’un des contribuables, les autres devaient payer pour lui.

Philippe épouse Louise NOUVEAU, probablement vers 1700 mais les archives de Pavant présentent des lacunes entre 1700 et 1735, donc pas de date plus précise. Nous retrouvons la trace de 5 de leurs enfants entre 1704 et 1722; Philippe « Le Jeune », Louise, Augustin, Jean notre aïeul, et Jacques.

Leur mère Louise NOUVEAU est la fille d’une fratrie dont la mère est Louise BROJONNE / BRÉJON, une autre lignée BROYON / BRÉJON vivant à Charly qui nous amène jusqu’à un aïeul qui se prénomme également Pierre, né à Charly il y a près de 500 ans. Louise NOUVEAU décède entre 1722 et 1735 et son époux Philippe décède en 1744; il s’était remarié entre temps avec Marie Anne BRETON. Nous ne leur connaissons pas d’enfant.

11e génération:

Signature de Philippe « le Jeune » BRÉJON – 1742
  • Philippe « le Jeune » BRÉJON nait en 1704 à Pavant. Il est vigneron et épouse Marie Nicol RAHAULT, de 9 ans sa cadette. Marie Nicol décède à 49 ans en 1762 après avoir eu au moins 8 enfants, dont des jumelles lors de sa 5ème grossesse.
  • Louise BRÉJON naît vers 1708 et épousera Nicolas MARQUIS.
Signature Augustin BRÉJON
Signature Jean BRÉJON
  • Notre aïeul Jean BRÉJON nait vers 1715, vigneron comme toute la famille. Sa première épouse Marie Anne RAHAULT décède à seulement 32 ans en 1756, alors que leurs 4 enfants, Jean Denis, Sébastien, Marie Jeanne et François « le Jeune » ont moins de 10 ans. Jean se remarie la même année avec Marie Hélène CHAMPIAT qui lui donne un fils.
  • On leur connait un frère cadet, Jacques BRÉJON, né vers 1722 mais décédé à 27 ans.

10e génération:

Jean Denis BRÉJON, fils de Jean et Marie Anne RAHAULT, ne sait pas signer lors de son mariage avec Marie Jeanne BIMONT en 1772.

Marie Jeanne vient de Saulchery. Elle ne sait pas signer non plus, contrairement à ses 2 grands-pères François BIMONT et Claude LE NOBLE qui avaient d’assez belles signatures, en 1703:

Signature François BIMONT – 1703
Signature Claude LE NOBLE – 1703

Jean Denis et Marie Jeanne ont 3 enfants connus nés entre 1773 et 1777; Jean Pierre notre aïeul, Marie Anne Agnès et Marie Thérèse.

9e génération:

Signature de Jean Pierre BRÉJON

Jean Pierre BRÉJON, vigneron de son état, a 16 ans lors de la Révolution française. Il se marie avec Françoise Rosalie MANTEL en 1804, qui a déjà 32 ans et qui est donc peut être déjà veuve.

Leur aînée Rose Claire décède à 8 ans en 1812. Pierre Prosper BRÉJON, notre aïeul est celui de la fratrie qui vivra le plus vieux – 52 ans – ses 2 soeurs cadettes Modeste et Victoire décédant à 41 et 51 ans.

8e génération:

Signature de Pierre Prosper BRÉJON

Notre aïeul Pierre Prosper BRÉJON, né en 1807, est le dernier à exercer uniquement le métier de vigneron; son épouse Joséphine COTTRAY est également vigneronne. Elle est la troisième fille d’une fratrie de 13 enfants dont 9 ont péri en bas âge, parmi lesquels 2 paires de jumeaux.

Le père de Joséphine, Antoine Martin COTTRAY, divorcé en 1797 de sa première épouse, décède l’année suivant le mariage de sa fille, en juin 1832, peut être victime de l’épidémie de choléra qui ravage le village et la région.

Joséphine deviendra concierge à Nogent L’Artaud en 1859, après le décès de Pierre Prosper lorsqu’elle se remarie avec Constant DELAMOTTE, également vigneron.

Pierre Prosper et Joséphine ont 3 garçons; Prosper Emile qui ne vit que 8 mois en 1832 et succombe peut-être également au choléra. Les deux suivants, Jean Pierre dit « Prosper » et Léopold Damas sont à l’origine de 2 lignées de BRÉJON assez importantes que l’on retrouve détaillées par la suite.

Arbre de descendance de Pierre Prosper BRÉJON

7ème génération :

Prosper BRÉJON exerce plusieurs métiers, vigneron puis maçon. Il est également caporal de la première compagnie de pompiers créée à Pavant en 1868.

Prosper épouse Victoire GOSSOIN en 1858 à Pavant, 8 mois avant que son père Pierre Prosper BRÉJON ne décède. Victoire est originaire de Citry par son père et de Pavant côté maternel; elle est d’ailleurs une arrière-arrière-petite fille de Marie Hélène BRÉJON … donc une cousin très éloignée de Prosper.

Victoire GOSSOIN et Prosper BRÉJON

Ils ont un seul enfant Adrien dit « Léonce ». On trouve trace de leur résidence « rue du bout d’en haut » à Pavant. Prosper fait partie de la branche BRÉJON dit « Collinet » selon les souvenirs de Petit Papi. Il décède un an avant la Grande Guerre à l’âge de 78 ans, veuf de Victoire depuis 4 ans.

Léopold Damas BRÉJON, frère de Prosper BRÉJON, se marie 3 fois ; il épouse en premières noces en 1859 Victoire Estel BRÉJON, une cousine éloignée (leurs arrière-grand-mères étaient sœurs) qui a une sœur jumelle, Julie Malvina BRÉJON. Estel a un 1er enfant « né sans vie » en 1861. Elle accouche 2 ans plus tard de jumeaux, l’un est prénommé Alexandre Alfred mais le second nait également « sans vie ». Ce second accouchement est également fatal à Victoire qui décède 2 jours plus tard à 28 ans.

Léopold se remarie avec Constance Euphrasie BERTRAND qui lui donne un deuxième garçon Prosper Damas. A nouveau veuf à 35 ans en 1872, avec ses deux garçons de 5 et 8 ans, il épouse Marie Louise Joséphine FRANCHE, de 10 ans sa cadette.

6e génération :

A la 6ème génération, on trouve donc Léonce et ses 2 cousins, Alexandre Alfred et Prosper Damas.

Léonce BRÉJON, Adrien de son vrai nom de baptême, est né en 1860. Comme son père Prosper, il est vigneron puis maçon. Il épouse en 1886 Angèle MANTEL, qui n’a que 16 ans.

Léonce BRÉJON
Angèle MANTEL

Léonce et Angèle sont cousins entre eux et forment le couple de cousins le plus proche identifiés à ce jour, d’un point de vue consanguinité, car ils sont cousins au quatrième degré (deux de leurs arrière-grands-parents étaient frère et sœur). Je ne pense pas qu’ils le savaient car le lien a plus d’un siècle d’ancienneté …

Retrouvez la branche MANTEL par ici.

Léonce effectua son service militaire en tant que sapeur pompier à Paris dans le onzième arrondissement vers 1884.

Léonce BRÉJON – 1884
Citation du clairon BRÉJON

Dans son livret militaire de la Classe 1880, il est décrit comme ayant « les sourcils châtain-clair, les yeux châtains, le front large, le nez ordinaire, la bouche moyenne, le menton rond et le visage plein ». Il mesure 1 mètre 61.

Léonce et Angèle ont eu deux garçons ; Gaston et Fernand, tous 2 nés un 9 septembre, à 6 ans d’intervalle.

Tournevis frappé des initiales du couple BRÉJON – MANTEL

Léonce et Angèle décèdent la même année en 1935, à Pavant, âgés respectivement de 74 et 65 ans.

Carte de Léonce à son petit-fils Daniel, années 1920

Sur le recto de la carte, les habitants de Pavant posent devant le Char de la Jeunesse lors de la fête du village, la Cavalcade.

Pavant – La Cavalcade – Le Char de la Jeunesse
Pavant – La Cavalcade – La noce villageoise, le Quadrille

Une croix a été dessinée à l’époque entre les pieds de la deuxième personne à gauche, qui semble déguisée en gendarme ; peut être s’agit-il de Léonce Bréjon lui-même ?

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Par chance, une deuxième carte postale de cette même Cavalcade achetée sur Internet fait apparaître le même personnage, au premier rang à droite, en train de danser le quadrille.

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Alexandre Alfred BRÉJON, cousin germain de Léonce et fils de Léopold Damas, épouse en 1887 Marie Joseph Hubert, bretonne originaire de Servel dans les Côtés d’Armor.

Signature d’Alexandre Alfred BRÉJON

Il est entrepreneur de maçonnerie en 1892. Il a 9 enfants avec Marie Joseph :

  • Alfred (1884-1892)
  • Alexandre (1887-1977), mariée avec Octavie OLANIER mais sans descendance
  • Rosida Marie (1889-1975), religieuse
  • Estelle Alphonsine (1890-1965)
  • Alfred (1892-1950), qui se retrouve unijambiste suite à la guerre 14-18. Il est menuisier ébéniste et se marie à Paris en 1919 avec Jeanne Larue. Ils n’ont pas d’enfant
  • Raoul (1894-1969), maçon, a 5 enfants avec Marie RUELLE
    • Gilbert (1921-1995)Claudine (1925 – 2004)Micheline, née en 1930Pierre (1933-2020)
    • Colette née en 1938, mariée avec Gabriel POUZENC et qui résiderait près de Toulouse en 2020 (?) (selon D. NAVICET via geneanet)
  • Clovis (1897-1981), lui aussi mutilé de guerre comme son frère aîné Alfred; il est manchot. Il est garde champêtre à Pavant.
Médaille de Clovis BRÉJON
  • Clovis épouse Jeanne FAUVET et ils ont 2 enfants:
    • Jacqueline (épouse CHABAUD)
    • Jacques BRÉJON, avec lequel j’ai correspondu et dont Papi se souvenait bien.Nous avions rencontré Jacques en 2008 à Pavant lors d’une journée organisée pour partager avec des écrivains du pays. Jacques vit toujours à Reims avec son épouse Denise. Professeur à la retraite, c’est aussi un bloggeur actif : http://eliejack.blogspot.com/
  • Moïse (1903-1969)
  • Rosette (1909-2005), que nous avons rencontrée à Pavant le 1er novembre 2000 (cf photo ci-dessous) et que Petit Papi n’avait pas revue depuis …des dizaines d’années.
Daniel et Rosette Bréjon, cousine de Pavant – 2000

Prosper Damas BRÉJON, demi-frère d’Alexandre Alfred et cousin germain de Léonce, est également maçon.

Signature de Prosper Damas BRÉJON

Il épouse Maria LYCKE, d’origine belge, qui lui donne une fille, Valentine BRÉJON (1893-1976), mère d’Henri VALLET (1919-2015).

Valentine BRÉJON

Henri fut ouvrier dans les usines de boutons puis chez Citroën. Je l’ai également rencontré à Pavant, en février 1998, à l’occasion de recherches dans les registres de la mairie. En 2015, Henri est devenu à 96 ans le doyen de la commune de Pavant. Mais, alors qu’il jardinait au mois d’avril, Henri fait une chute de plus de trois mètres, qui lui est fatale.

Caveau familial VALLET – BRÉJON à Pavant

5e génération :

Fernand et Gaston BRÉJON
à la communion de ce dernier, vers 1900

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On trouve notamment à cette génération les deux frères Gaston et Fernand BRÉJON.

Gaston Marius BRÉJON est le dernier de notre lignée BRÉJON à naître et vivre à Pavant. Il y naît en 1888 et y décède en 1981.

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Georgette FOUCART
Gaston BRéJON

Georgette FOUCART, qu’il épouse en 1913 à Pavant, est quant à elle née en 1889 à Neuilly sur Seine, au 25 de la rue de Sablonville. Ses parents ont divorcé alors qu’elle n’avait que 18 mois et la trace de son père Adolphe s’était perdue. Nous l’avons retrouvé avec le nouveau foyer qu’il avait fondé et avons également remonté son arbre jusqu’en Belgique, berceau de la lignée FOUCART.

Gaston et Georgette vivront notamment au 76 rue Jean de la Fontaine à Pavant.

Pavant, 76 rue Jean de la Fontaine

Ils ont un seul enfant, un garçon, Daniel le 31 mars 1914.

Gaston, tout comme son père, cousine avec son épouse même si cette fois le lien est plus lointain et remonte à sept générations soit près de 200 ans, via le couple d’ancêtres communs, Thomas BEAUCOTÉ et Marie Anne CHALLOT.

Parenté entre Gaston Bréjon et son épouse Georgette Foucart

Thomas et Marie Anne se marièrent vers 1700 dans le village voisin de Citry (Seine et Marne), distant de quelques kilomètres de Pavant.

Citry, la Cheveaudry de Villaré
Citry, rue de Pavant

Ils eurent au moins 14 enfants dont Claude, né en 1707, ancêtre de Gaston et Marie Anne, née en 1720, aïeule de Georgette.

Fernand Bréjon, 1916

Fernand BRÉJON, cadet de Gaston de 6 ans, n’a pas eu la longévité de son frère car, mobilisé en 1914 en tant que Sergent au 161ème Régiment d’Infanterie, il est tué le 5 mai 1916 à l’âge de 22 ans.

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4e génération :

Daniel BRÉJON, « petit papi » épouse Marie VINCE « mamie » le 10 décembre 1938, brièronne de souche côté paternel VINCE et leur union durera 62 ans jusqu’en 2000 !

Au premier rang de gauche à droite : Germaine BOUCHER épouse BERGEYRON, sœur de la mariée, Hélène LEROY épouse FOURNIER, mère de la mariée, les mariés Daniel BREJON et Marie VINCE, Gaston BREJON et Georgette FOUCART les parents du marié.
Au deuxième rang, 3ème en partant de la gauche : Claude BERGEYRON, neveu de la mariée.
Au dernier rang, 3ème en partant de la droite : Marcel BERGEYRON, beau-frère de la mariée.

Parmi les cousins de la même génération que « Petit Papi », on trouve notamment:

  • Gilbert BRÉJON (1921-1995), fils de Raoul BRÉJON. Gilbert a eu 2 enfants, Denis et Patrick; Patrick dont j’ai retrouvé la trace dans le Nord avec toute sa famille en 1999.
  • Jacques BRÉJON, fils de Clovis BRÉJON, habitant à Reims et Charly sur Marne, père de Sylvaine et Marie-Hélène, Marie-Hélène étant la première cousine BRÉJON retrouvée sur Internet en 1997. Elle est mariée avec Francis WINTZENRIETH et vit en Moselle.

3e génération :

Gérard BRÉJON & Chantal HAMON
Alain BRÉJON & Monique BESSION

2e génération :

Les cousins BRÉJON:

Olivier BRÉJON & Anne-Sophie PEYROUX,
Agnès BRÉJON & Arnaud MARCHAND,
Anne BRÉJON & Fouhad SEBBANNE,
Nicolas BRÉJON & Aurélie MROCZKO

1ère génération :

Les petits-cousins BRÉJON

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