Tempête sur « Le Schems » au Sénégal en 1842

Le petit Jean BARRÈRE est le fils de Jeanne BARRERE , 17 ans et demi, qui le met au monde seule en janvier 1801 dans le petit village familial landais de Habas, à Hourgabe. Il est un de nos aïeux de la branche LÉONARD: Devenu marin puis capitaine, il est sur le trois-mats « Le Schems »Lire la suite « Tempête sur « Le Schems » au Sénégal en 1842″

Explosion fatale à « l’écrevisse », 1884

Au printemps 1884, Napoléon HERMAN s’est marié il y a peu avec Léonie BOUTRY et ils attendent leur premier enfant, Léon, qui naîtra en septembre. Napoléon est sapeur-pompier et réside à la Caserne au 50 rue du Chateau d’eau à Paris. Il est le Sergent Major de notre aïeul Léonce BRÉJON, 24 ans, qui effectueLire la suite « Explosion fatale à « l’écrevisse », 1884″

Gare aux saltimbanques ?

Le samedi 23 juillet 1892, Eugène – 52 ans – et Placide – 22 ans, père et fils PUYRAVAUD, reviennent des champs pour le diner que la servante a préparé. Quelle heure est-il ? Difficile à dire car Placide ne retrouve pas sa montre … Eugène, le père PUYRAVAUD, veuf depuis 8 ans, vit avecLire la suite « Gare aux saltimbanques ? »

Carabin 1er au carnaval de Nantes en 1920

Carnaval vient d’une expression latine (carne levare) qui veut dire « enlever la viande ». Si ce jour est devenu un jour de fête, c’est précisément parce qu’il fallait en profiter, festoyer et faire bombance avant que la viande et les repas trop riches ne soient interdits. La période de Carnaval se clôt en effet le jourLire la suite « Carabin 1er au carnaval de Nantes en 1920 »

Se marier en février

Parmi plus de 1000 mariages de nos aïeux célébrés depuis 1600, plus d’ 1/4 l’ont été au mois de février. Viennent ensuite les mois de janvier et novembre parmi les mois privilégiés. Se marier au cœur de l’hiver est – ou était plutôt – le plus courant et cela s’explique d’une part sans doute parceLire la suite « Se marier en février »

4 mariages et 1 enterrement

Notre aïeul Louis DUFLOS est meunier du moulin de Villeneuve-sur-Bellot en Seine-et-Marne où il se marie une 1ère fois en 1712. Nicolas sera veuf 3 fois de suite et se mariera en tout 4 fois en moins de 17 ans. Louis DUFLOS est un aïeul de la branche BRÉJON: Lors de son premier mariage en septembre 1712Lire la suite « 4 mariages et 1 enterrement »

Jeanne et Claude, une famille nombreuse vers 1750

Marie Jeanne BAUDIN ou BAUDET naît en 1716 dans l’Aisne, vraisemblablement à Pavant mais les archives de la commune de cette époque ont disparu. Elle épouse vers 1735 Claude NOUVEAU, qui est vigneron tout comme les 5 générations de fils ou gendres qui suivront. De leur union naîtront 14 enfants, 8 filles et 6 garçons.Lire la suite « Jeanne et Claude, une famille nombreuse vers 1750 »

Un peu de sang bleu

« Tout homme descend à la fois d’un roi et d’un pendu », dixit La Bruyère. L’ascendance qui est présentée ici démarre, presque naturellement, par notre branche LEROY (sic) via notre grand-mère Marie VINCE et nous conduit à Hugues CAPET en traversant plus de 30 générations. 4 – Marie VINCE, couturière, notre grand-mère paternelle 32 – Hugues CAPET (vers 940 –Lire la suite « Un peu de sang bleu »

Une fabrique de boutons en os vers 1840

Jusqu’au milieu du XIXème siècle, l’activité de Pavant est concentrée sur l’exploitation de la terre et des vignes. C’est à partir des années 1840 que deux fabriques apparaissent : Isidor BRÉJON et Gustave TOURRETTE font construire tout spécialement pour réaliser des fabriques de boutons (source: Histoire de Pavant de Charles CORNETTE). Isidor est un cousinLire la suite « Une fabrique de boutons en os vers 1840 »

Des mendiants et des Seigneurs

Nos ancêtres, comme la grande majorité pendant des siècles, vivaient du travail de la terre; ils étaient très souvent cultivateurs, vignerons, laboureurs voire simples journaliers ou manouvriers pour les plus démunis qui gagnaient leur pain en travaillant dans les fermes alentours. La précarité et la misère étaient monnaie courante ; tel fut le cas pour auLire la suite « Des mendiants et des Seigneurs »

Quand les mariés se remarient entre eux

Notre cousine éloignée Marie Hélène BRÉJON et François RAHAULT se marient à Pavant le 5 juin 1763. Deux ans et demi plus tôt, le 26 novembre 1760, ils célébraient déjà leurs noces ensemble, dans la même église. Entre temps, leur fils Augustin est né fin 1761. François et Marie-Hélène n’ont pas divorcé car le divorce civil ne fut autoriséLire la suite « Quand les mariés se remarient entre eux »

Melchior, maître verrier du Bade-Wurtemberg … il y a 500 ans

Melchior GREINER est allemand. Il vit dans la région du Bade-Wurtemberg et est né vers 1492 dans le village de Wüstenrot où il passera toute sa vie jusqu’en 1563. Les 5 générations qui lui succèdent exerceront toutes le métier de maître-verrier entre 1500 et 1700: « Moi, Ulrich Greiner de Finsternroth, reconnaît et déclare queLire la suite « Melchior, maître verrier du Bade-Wurtemberg … il y a 500 ans »

Pierre LANG, meunier tyrolien dans le pays de Bitche

L’ascendance de Thérèse PROBST, la mère de Célestine Charlotte SCHNEIDER, nous amène jusqu’à Pierre LANG, d’origine autrichienne dans le Tyrol, via toute une lignée de meuniers du Pays de Bitche en Moselle : Joël BECK décrit la famille LANG dans son livre « Moulins du Pays de Bitche » paru en 1999: « C’est la famille LANG quiLire la suite « Pierre LANG, meunier tyrolien dans le pays de Bitche »

La maison natale de Pisseloup

Notre grand père a vécu dans les années 1920 à deux kilomètres de Pavant, dans le village de Pisseloup, où son père Gaston travaillait en tant que contremaître de l’usine de plâtre alors fort active. Le plâtre extrait des carrières était conditionné et amené à l’embarcadère situé à quelques dizaines de mètres de là pourLire la suite « La maison natale de Pisseloup »

L’apprenti devient « Mécru »

Je suis né en 1914. A treize ans, je quitte l’école et entre en apprentissage d’ajusteur. Ayant accompli mon service militaire au 2ème Génie à Metz en 1935/36, je suis admis à la Compagnie de l’Est comme ouvrier ajusteur au dépôt de Longueville en janvier 1937. Aussitôt commissionné, j’accède au service des machines et effectue unLire la suite « L’apprenti devient « Mécru » »

De Cuba à Saint Domingue

Au-delà de la grande majorité de nos ancêtres briérons de la branche BRÉJON-VINCE qui consacrèrent leur vie au travail dans les marais, un certain nombre d’entre eux sont partis au XVIIIème siècle en tant que marins vers « les Iles ». Voici quelques arrière-grands pères et un jeune arrière-grand oncle saisis au fil de l’eau: Par ailleurs, dansLire la suite « De Cuba à Saint Domingue »

Victor RAHAULT, ou comment épouser la sœur de sa belle-mère

Jean Simon RAHAULT nait en 1773 à Pavant et se marie avec Marie Louise ROMELOT, 20 ans, en 1798. Ils auront 2 garçons dont Dominique Victor RAHAULT. Sa mère Marie Louise décède alors qu’il n’a que 7 ans… Veuf, Jean Simon RAHAULT se remarie en 1810 avec Anne Marie COTTRAY, de 10 ans sa cadetteLire la suite « Victor RAHAULT, ou comment épouser la sœur de sa belle-mère »

Louis FAUVET épouse la nièce de sa femme

Louis Antoine FAUVET, veuf d’Hélène BOURNICHE, a épousé en secondes noces Catherine Constance BOURNICHE, sa nièce par alliance, via feu sa première épouse. L’union est insolite et s’est déroulée ainsi: Louis Antoine FAUVET est un de nos aïeux, né à Pavant en 1777. Les FAUVET sont en fait originaires du village voisin de Sablonnières auLire la suite « Louis FAUVET épouse la nièce de sa femme »

Désiré TABOURET, un « Indien » écroué

1 mètre 61, barbu, le front dégarni, Rose Désiré TABOURET boite de la jambe gauche lorsqu’il est écroué à Tours, accusé de mendicité et de vagabondage. Comment notre aïeul qui est un compagnon charpentier du Devoir de Liberté (compagnons que l’on surnomme à l’époque les « Indiens »), en est-il arrivé là, à 62 ans ? RemontonsLire la suite « Désiré TABOURET, un « Indien » écroué »

De Bordeaux … à Vesoul

Au 31 rue Notre Dame à Bordeaux est née notre aïeule Marie RENOUD en 1799 mais pas de trace à Bordeaux du mariage de ses parents Jean RENOUD et Françoise CIBER, ni de leur décès, aussi est-il difficile de progresser dans cette branche car elle n’est probablement pas bordelaise…mais d’où peuvent venir ses parents ?Lire la suite « De Bordeaux … à Vesoul »

1865: une vieille photo de famille

Cette photo nous a été partagée par Gisèle ESCOURROU, une cousine généalogiste qui avait fait des recherches approfondies sur Nicolas LEVASSEUR dit Landouiller, piqueur de son métier et époux de notre aïeule, Joséphine DUMESNIL, présente sur la photo avec 3 de leurs enfants. Cette photo est la plus ancienne que nous ayons et nous pouvonsLire la suite « 1865: une vieille photo de famille »

Memmingen, Stalag VIIB

Quand Hortense LE MOIGNE écrit le 1er juillet 1940 à son époux Louis HAMON, mobilisé au 485ème Régiment de Pionniers Coloniaux, elle ne sait pas encore que la lettre ne lui parviendra pas et lui sera retournée un an plus tard. Louis a été fait prisonnier et il va passer de longues années au StalagLire la suite « Memmingen, Stalag VIIB »

La Brière décrite en 1919 par Robert BOUCHER

En 1919, Robert BOUCHER a déjà 16 ans et vit à Dunkerque avec sa mère Hélène Séraphine LE ROY, 42 ans – déjà veuve de Léopold BOUCHER et de Jean-Baptiste VINCE – et ses 2 sœurs ; Germaine son aînée, âgée de 24 ans et Marie qui n’a que 6 ans. Les compositions françaises de sonLire la suite « La Brière décrite en 1919 par Robert BOUCHER »

GOSSOIN, maréchal ferrant criblé de dettes

En 1846, la jeune Léontine MIREAUX âgée de presque 18 ans, épouse le maréchal ferrant Louis François GOSSOIN de 2 ans son aîné. Cette union va l’emmener à l’autre bout du monde, à Bourail en Nouvelle-Calédonie, pour suivre l’amour de sa vie, condamné aux travaux forcés à perpétuité. Marié à Léontine dans le village deLire la suite « GOSSOIN, maréchal ferrant criblé de dettes »

Quelques cousins célèbres … très éloignés

Via le site Geneastar, nous avons retrouvé des liens très éloignés – car datant généralement des 16e et 17e siècle – avec quelques célébrités; de Camille CLAUDEL à Didier RAOULT en passant par Thierry LHERMITTE, en voici quelques-unes listées ci-dessous. Source photo: arbre de consanguinité de Willem VRELANT (1410-1480) Côté BRÉJON: Côté VINCE: Côté VINCE (LEROY):Lire la suite « Quelques cousins célèbres … très éloignés »

Du romarin et des prières

La peste ou le choléra, nos ancêtres ont croisé les deux, à des époques différentes, ici en 1729 et un siècle plus tard en 1832, avec à l’époque peu de connaissances médicales ni de moyens pour les combattre … 1729 : année pestiférée à Saâcy sur Marne En 1729, la peste sévit à Luzancy qui l’annonceLire la suite « Du romarin et des prières »

LEBAS, HAMON, MELLEC, BRÉJON: destins communs

Notre arrière-grand père Jacques LEBAS et nos 3 arrière-grands oncles Jean HAMON, Yves MELLEC et Fernand BRÉJON sont de la même génération et ont également en commun d’être parmi les 2 millions de poilus morts pendant la Grande Guerre. . Jean HAMON et Yves MELLEC au 48ème Régiment d’Infanterie, arrière-grand-oncles Jean Marie HAMON est leLire la suite « LEBAS, HAMON, MELLEC, BRÉJON: destins communs »

Au 31 rue Notre Dame à Bordeaux en 1799

Venant régulièrement à Bordeaux dans le quartier des Chartrons, nous avons pris nos habitudes dans un café de la Rue Notre Dame. Pourquoi celui-ci et pas un autre ? Sans doute parce que l’adresse est accueillante et la carte agréable … mais la coïncidence du lieu avec notre histoire familiale est troublante. A cette adresseLire la suite « Au 31 rue Notre Dame à Bordeaux en 1799 »

Un AOUSTIN en Martinique

Notre aïeul François AOUSTIN, maître-charpentier, décède le 16 juin 1853 à 38 ans sur le bateau l’Aurélie, 2 mois après son arrivée à Saint Pierre de la Martinique. Sur le registre des matricules des « gens de mer », on retrouve la fiche de François AOUSTIN qui nous permet de retracer les dates de ses 3 derniersLire la suite « Un AOUSTIN en Martinique »

Jean-Baptiste DURIGNEUX, le ch’ti belge

Jean-Baptiste DURIGNEUX est scieur de bois lorsqu’il se marie en 1778 à Saint Symphorien en Belgique. Il est né à Mecquignies dans le Nord où son père Jérosme DURIGNEUX s’est installé et leurs aïeux sont originaires du village voisin de Haumont, dans le Nord également. Avec son épouse Walberge BUSIAU, journalière, il fonde un foyerLire la suite « Jean-Baptiste DURIGNEUX, le ch’ti belge »

RAHAULT le bagnard de l’ile Nou

François Alexandre RAHAULT meurt à 66 ans en 1892. Il est alors sur l’Ile Nou en Nouvelle-Calédonie, à plus de 16,000 kilomètres de Pavant, son village natal, condamné aux travaux forcés à perpétuité. François Alexandre est le cousin germain de notre aïeule Joséphine Crescence COTTRAY, de la branche MANTEL: 25 ans plus tôt à Pavant,Lire la suite « RAHAULT le bagnard de l’ile Nou »

Emile BRÉJON le pompier

L’histoire commence en 1868 avec l’initiative du jeune Emile BRÉJON, âgé de 24 ans, qui lance une souscription volontaire pour l’acquisition d’une pompe à incendie, décidée par la municipalité de Pavant.Source: Histoire de Pavant de Charles CORNETTE (pages 187 et 201). Cette souscription rapporte 1663 francs de l’époque, soit l’équivalent de près de 5500 eurosLire la suite « Emile BRÉJON le pompier »

Madame STÉPHAN

Née le 16 novembre 1884 à Saint-Joachim, au coeur de la Brière, Madame STÉPHAN, alias Stéphanie GUIGAND, ne se prédestinait évidemment pas à devenir une « femme à barbe ». Et pourtant, un beau jour de 1930, sous l’effet d’une pilosité abondante au niveau du menton, celle qui était ménagère le deviendra. « Elle a commencé ses représentationsLire la suite « Madame STÉPHAN »

Fernand MÈNE, cousin poilu ?

Parmi les photos de famille partagées à Noël 2020, il y avait celle d’un poilu qui portait les mentions « Fernand Mène – chemin d’Arès – printemps 1914 – mort 11/18 » mais qui n’était a priori pas de la famille … Je me suis dit que la photo d’un poilu décédé ne se partageait qu’en famille ou avecLire la suite « Fernand MÈNE, cousin poilu ? »