Jean-Baptiste DURIGNEUX, le ch’ti belge

Jean-Baptiste DURIGNEUX est scieur de bois lorsqu’il se marie en 1778 à Saint Symphorien en Belgique. Il est né à Mecquignies dans le Nord où son père Jérosme DURIGNEUX s’est installé et leurs aïeux sont originaires du village voisin de Haumont, dans le Nord également.

Signature de Jean-Baptiste DURIGNEUX – 1824

Avec son épouse Walberge BUSIAU, journalière, il fonde un foyer DURIGNEUX qui restera au moins 3 générations dans le village belge de Saint Symphorien.

En fait, à cette époque la Belgique est une région française de 1792 jusqu’à 1815 puis est rattachée aux Pays-Bas, avant de devenir indépendante en 1830…Ch’ti ou belge, Jean-Baptiste est donc les 2 !

L’un de ses petits-fils, également prénommé Jean-Baptiste, épousera sa tante par alliance; en effet, Daniel, l’oncle de ce Jean-Baptiste DURIGNEUX, qui n’a que 10 ans de plus que lui, épouse en 1824 Marie DAUBERCY, ouvrière de Saint Symphorien mais il décède en 1836. Marie a près de 39 ans lorsqu’elle se remarie 2 ans plus tard avec le neveu de feu son mari Daniel, Jean-Baptiste, alors âgé de 28 ans.
Jean-Baptiste est ouvrier et marchand de sable ambulant à la fin de sa vie en 1866. Veuf depuis quelques années, il est retrouvé mort à Hornu dans la grange de la veuve Guchez.

L’un de leurs enfants né 8 ans après leur mariage se prénomme Jules DURIGNEUX (1846 – 1901) et il sera le dernier né dans le Nord, côté Belge à Boussu. Jules est terrassier et rencontre une ardennaise d’Anchamps, Antoinette NICODÊME (1861 – 1886), de 15 ans sa cadette, qu’il épouse dans un village que nous n’avons pas identifié probalement vers 1876-1880.

Signature de Jules DURIGNEUX – 1880

Jules et Antoinette quitteront définitivement leur région d’origine pour s’installer en Haute Marne à Pont-Varin, commune de Wassy. Jules décède relativement jeune à 55 ans en 1901.

Son fils Antoine DURIGNEUX sera hébergé dans la famille CARPENTIER où il fera connaissance de sa future femme Marie CARPENTIER.

Signature d’Antoine DURIGNEUX – 1907

Antoine travaille alors en tant que mécanicien à la compagnie minière de Pont-Varin près de Wassy où il vit au lieu-dit les Cantines:

Environs de Wassy – Pont-Varin – Les Cantines

Antoine et Marie ont 3 enfants, 2 filles et 1 garçon:

  • « Antoinette », qui épousera Marceau AUBRY et sont les grands-parents de Gilles AUBRY
  • Odette,
  • Jules DURIGNEUX, qui épousera en 1930 à Brauvilliers Andrée THIÉBAUT, jeune institutrice meusienne de Brauvilliers…

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